Le monde est fou si tu es faible
Le monde est coups puisque t’en crèves
De l’ambition, une carrière
Ton nom devant les autres
Être célèbre, sentir les yeux sur ton égo
Qui ne fait que grandir, au fond
Devenir con, tu es acerbe
Si t’es trop long je te la ferme
Domination, le poing se serre
Sur ton chemin, l’on s’écarte
Ses pieds ne toucheront plus terre
S’affranchir de c’que l’on pensait avant
Parler plus fort, être en alerte
Forcer la chance qui est offerte
J’écraserai ceux qui résisteront
Sous mon joug, ils plieront
Je mène la danse, je suis patron
Quand le jour tombe, il rentre seul
Être le roi le jour, mais là le silence
Faire les cent pas, le contour d’une vie seul
Le froid souffle dans son cœur inerte
Il plonge lentement vers une perte
Plus de sentiments, son âme est offerte
Quand le jour tombe, il rentre seul
Être le roi le jour, mais là le silence
Faire les cent pas, le contour d’une vie seul
Le froid souffle dans son cœur inerte
Il plonge lentement vers une perte
Plus de sentiments, son âme est offerte
Si je suis le seul autour que quelqu’un m’arrête
Je ne crierai au secours que le jour de ma perte
Le jour où je tombe, je serai seul
Ce n’est pas de l’amour que de s’aimer soi
Être un roi, un jour, sans boussole
Sans connaître la personne
Je rêvais de mon nom devant les autres
Je paye le prix fort, une trop grande arrogance
Je te vois au loin quand j’avance
Mais ne pas changer maintient entre nous la distance
Je te vois au loin quand j’avance
Mais ne pas changer maintient entre nous la distance
Je te vois au loin quand j’avance
Mais ne pas changer maintient entre nous la distance
Le monde est fou si tu es faible
Le monde est coups puisque t’en crèves
De l’ambition, une carrière
Ton nom devant les autres
Le monde est fou si tu es faible
Le monde est coups puisque t’en crèves
De l’ambition, une carrière
Ton nom devant les autres